Eucharistie: 24 décembre 2023

4ème Dimanche de l’Avent — Année B

 

« Moi, je serai pour lui un père et lui, il sera pour moi un fils »
(2 Samuel 7,14)

 

Première lecture

Dans l’histoire du roi David, il y a une page fondamentale. David, qui est désormais installé dans sa maison royale, veut construire une maison pour Dieu. Mais Dieu a un autre projet : il veut construire une descendance à David. C’est l’idée d’un écrivain lié à la cour de Jérusalem et à la dynastie royale. Pour l’affirmer, il raconte d’abord le dialogue entre le roi David et son conseiller, le prophète Natan et, ensuite, le message que le prophète devra apporter à David comme message de Dieu.

L’écrivain, qui compose ce récit à propos de David et de Natan, vit environ trois siècles après David et son fils Salomon. Il connaît le mauvais comportement des rois de Jérusalem, mais il pense que, malgré ces mauvais comportements, Dieu ne va pas punir ces rois au point de détruire la dynastie davidique. Le châtiment de Dieu sera – d’après notre écrivain – comme celui d’un père envers son fils (v. 14b).

La structure du récit est simple. Après le dialogue entre David et Natan (vv. 1-3), le message de Dieu à Natan est structuré en trois points[1] :

* D’abord Dieu mentionne à Natan l’idée de David : construire une maison pour Dieu (v. 5). Mais Dieu refuse ce projet ; en effet, c’est demeurant sous une « tente », que Dieu accompagnait son peuple dans le désert (vv. 6-7).

* Les bienfaits que Dieu a accordés à David (vv. 8-9) et la stabilité qu’Israël va connaître un jour (vv. 10-11a).

* La descendance, littéralement la « maison » de David : Dieu affermira le royaume d’un fils de David (v. 11b-12) et ce fils bâtira une « maison » pour Dieu, le temple (v. 13). Entre un descendant de David et Dieu la relation sera très intime. Dieu assure : « Moi, je serai pour lui un père et lui, il sera pour moi un fils » (v. 14a). Le royaume de David sera stable, malgré les fautes des rois (vv. 14b-16).

Une dernière remarque. L’idée qu’un roi puisse être considéré comme un « fils » de la divinité était très répandue dans les différentes civilisations de l’époque. On considérait le roi comme un représentant de la divinité dans le monde[2]. Mais dans l’Ancien Testament, l’expression « fils de Dieu » est utilisé surtout pour parler des Israélites (Ex 4,22 ; Os 2,1 et 11,1.) globalement et des Israélites considérés individuellement. C’est le cas du roi de la dynastie de David, comme dans le texte qu’on lira dans un instant (v. 14). D’autres pages vont utiliser l’expression « Fils de Dieu » en parlant d’un « juste » qui se comporte fidèlement (Sag 2,13.16.18 et 5,5)[3]. Et, à partir de ces textes, on comprend pourquoi dans le Nouveau Testament on appliquera cette expression à Jésus. Mais la page de ce matin nous montre que, déjà pendant l’exil à Babylone, lorsque Jérusalem n’avait plus de roi, il y avait des personnes qui – à travers le récit de Natan – attendaient un messie que Dieu pourra considérer « son fils »[4].

 

Lecture du Deuxième livre de Samuel (7,1-5. 8b-12. 14a.16)

1 Le roi David s’installa dans sa maison. Yahvéh lui avait donné la tranquillité, tout autour, face à tous les ennemis. 2 C’est alors que le roi dit au prophète Natan : « Vois donc ! J’habite une maison en bois de cèdre et l’arche de Dieu a seulement une toile de tente comme maison ». 3 Et Natan dit au roi : « Va et fais tout ce qui est dans ton cœur, car Yahvéh est avec toi ».

4 Et fut, cette même nuit : la parole de Yahvéh fut adressée à Natan en ces termes : « 5 Va ! Et tu diras à mon serviteur, à David :

Ainsi dit Yahvéh. Est-ce toi qui me construiras une maison pour que j’y habite ?

8b Moi, je t’ai pris au pâturage, derrière les brebis, pour que tu sois le chef de mon peuple Israël. 9 J’ai été avec toi partout où tu allais. Et j’ai abattu devant toi tous tes ennemis. Et je t’ai fait un nom grand comme le nom des grands de la terre.

10 Et je fixerai un lieu pour mon peuple, pour Israël, je le planterai et il demeurera à sa place. Il ne tremblera plus et des criminels ne continueront plus à lui faire violence comme auparavant, 11 à l’époque où j’ai établi des juges sur mon peuple Israël. Oui, je t’ai donné du repos, je t’ai protégé de tous tes ennemis.

Yahvéh te l’annonce, Yahvéh te fera une maison. 12 E quand tes jours seront accomplis et que tu seras couché avec tes pères, je susciterai dans ta descendance un successeur – celui qui sera issu de tes entrailles – et j’affermirai son royaume. 14a Moi, je serai pour lui un père et lui, il sera pour moi un fils. 16 Devant toi, ta maison et ton royaume seront à jamais stables. Pour toujours ton trône sera affermi ».

Parole du Seigneur.

 

Psaume

Le psaume 89 est un poème bouleversant. Il a été composé après le retour de l’exil à Babylone, très probablement après les années 515[5]. La situation des Israélites est très difficile. Ils ont l’impression que Dieu a oublié son peuple, que Dieu s’est caché. D’ici la question que le poète du psaume adresse à Dieu : « Jusqu’à quand, Yahvéh, seras-tu caché ? Pour toujours ? » (v. 47). Et encore : « Souviens-toi, mon Seigneur, de l’insulte à tes serviteurs – ces offenses je les porte en mon sein, elles viennent de tous les nombreux peuples » (v. 51). Toujours s’adressant à Dieu, le poète lui demande : « Où sont tes amours, les premiers, mon Seigneur, que tu as jurés à David dans ta fidélité ? » (v. 50).

Mais c’est précisément dans cette situation de silence de Dieu que le poète veut chanter la loyauté et la fidélité de Dieu[6]. C’est ce que le poète fait dans la première strophe de son psaume (vv. 2-3). L’amour de Dieu, il veut le chanter « sans fin ». Et il le souligne dans le verset suivant : « Oui, je le dis : c’est un amour bâti pour toujours » [7].

La deuxième strophe (vv. 4-5) nous présente, sans aucune introduction, une parole du Seigneur : l’alliance que Dieu a faite avec David. Seulement rarement l’Ancien Testament parle de l’alliance de Dieu avec David[8]. D’après notre psaume, l’alliance avec David est un engagement unilatéral de la part de Dieu : Dieu s’engage afin que la dynastie de David dure « de génération en génération ». Dans la page de la première lecture, la promesse de Dieu concernait surtout la royauté de Salomon, fils de David. Au contraire, dans notre psaume l’accent est sur la stabilité de toute la dynastie de David. Elle doit durer « pour toujours », elle doit durer autant que la fidélité de Dieu[9].

La troisième strophe que la liturgie nous propose ne fait plus référence à la dynastie de David. Elle concerne David personnellement. Dans la première lecture, les mots « père – fils » évoquaient la relation entre Salomon et Dieu ; dans notre strophe, au verset 27, ils expriment la relation entre David et Dieu. En effet, en parlant de David, Dieu affirme : « Il m’appellera en disant : “Toi, tu es mon Père” ». Et à ces paroles de David, Dieu réagira : « Pour toujours je lui garderai mon amour ; et mon alliance lui sera fidèle » (v. 29).

Cette relation très personnelle entre un fils et Dieu qui l’aime a été importante dans la tradition juive ; en effet elle a nourri et renforcé l’espérance dans la venue du messie. Et les premiers chrétiens ont vu dans cette relation intime Fils-Père et Père-Fils un chemin pour comprendre Jésus dans sa relation à Dieu[10].

Quant à nous, ce matin, en écoutant ces trois strophes du psaume, laissons-nous prendre par l’amour sur lequel le poète insiste. C’est un amour « pour toujours », un amour qui soutenait le poète dans la situation difficile qu’il vivait, un amour qui nous encourage dans une situation qui n’est pas meilleure que celle vécue par le poète du psaume. Je vous invite donc à intervenir, à la fin de chaque strophe en faisant, des premiers mots du psaume, notre refrain :

Ton amour, Seigneur, sans fin je le chante !

 

Psaume 89 (versets 2-3. 4-5. 27.29)

2 L’amour de Yahvéh, je veux le chanter sans fin,

ma bouche fera connaître ta fidélité de génération en génération.

3 Oui, je le dis : c’est un amour bâti pour toujours ;

ta fidélité tu l’as fixée solidement dans les cieux.

Refr. :  Ton amour, Seigneur, sans fin je le chante !

 

4 (Tu as dit 🙂 « Avec celui que j’ai choisi, j’ai fait une alliance,

j’ai fait cette promesse à David, mon serviteur :

5 « Pour toujours, j’établirai comme roi un enfant de ta famille

et je maintiendrai ton trône royal de génération en génération ».

Refr. :  Ton amour, Seigneur, sans fin je le chante !

 

27 « Il m’appellera en disant : “Toi, tu es mon Père,

mon Dieu, le rocher solide qui me sauve”.

29 Pour toujours je lui garderai mon amour ;

et mon alliance lui sera fidèle ».

Refr. :  Ton amour, Seigneur, sans fin je le chante !

 

Deuxième lecture

La deuxième lecture de ce matin est la page finale de la lettre de Paul aux Romains. Il s’agit d’un chant de remerciement adressé à Dieu. Pourquoi ce chant ? Surtout pour deux motifs. D’abord : parce que Dieu nous rend solides dans la foi. Le texte le dit très clairement : Dieu « peut vous rendre forts dans la foi » (v. 25). Le second motif pour remercier Dieu est sa sagesse[11]. Oui, Dieu est sage, il « est le seul sage » (v. 27). Et sa sagesse se manifeste dans son projet de sauver l’humanité entière.

En parlant de ce projet, l’apôtre le qualifie comme « mystère », donc comme un projet qui dépasse toutes nos possibilités de le comprendre. Ce mystère a été tenu « depuis toujours dans le silence » (v. 25), mais au centre de l’histoire de l’humanité il a été manifesté dans la personne du Christ. Les Écritures de l’Ancien Testament l’avaient annoncé d’une façon prophétique, mais seulement l’annonce de l’Évangile l’a manifesté pleinement. De cette façon, maintenant tous les peuples peuvent, à travers le Christ, s’ouvrir à Dieu et à son projet de salut. Pour le dire avec les mots de l’apôtre, maintenant toutes les nations peuvent « mettre leur foi en Dieu et lui obéir » (v. 26).

 

Lecture de la lettre de saint Paul aux Romains (16,25-27)

Frères, 25 rendons gloire à Dieu qui peut vous rendre forts dans la foi, selon la Bonne Nouvelle que j’apporte en annonçant Jésus Christ. Cette Bonne Nouvelle est la révélation d’un mystère gardé depuis toujours dans le silence, 26 et qui, maintenant, a été mis en pleine lumière à travers les annonces prophétiques selon l’ordre du Dieu éternel. Ce mystère a été porté à la connaissance de toutes les nations afin qu’elles puissent mettre leur foi en Dieu et lui obéir.

27 A Dieu qui est le seul sage, à lui la gloire, par Jésus Christ, pour toujours ! Amen.

Parole du Seigneur.

Alléluia. Alléluia.

Voici la servante du Seigneur ;

que tout m’advienne selon ta parole. (Lc 1,38)

Alléluia.

 

Évangile

L’histoire biblique est une histoire complexe. La première lecture nous présentait le rêve d’une suite ininterrompue de rois de la dynastie davidique. Avec la destruction de Jérusalem, cette vision politique s’écroule : en voyant le roi, l’oint du Seigneur, partir prisonnier à Babylone, on a de la peine à croire que cette promesse d’un roi descendant de David puisse se réaliser. Mais l’attente d’un “oint”, d’un “messie” descendant de David reste toujours vivante, comme nous est témoigné par l’Évangile.

La page de l’Évangile, que nous allons écouter dans un instant, est une synthèse de ce que la communauté chrétienne des origines pensait à propos de Jésus. A travers le récit du dialogue entre le messager de Dieu et Marie, Jésus nous est présenté comme descendant et successeur de David, comme celui auquel Dieu « donnera le trône de David, son père » (v. 32) et comme celui qui « régnera éternellement » (v. 33). En même temps, la communauté chrétienne considère Jésus non seulement comme fils de David mais aussi et surtout comme « Fils du Très-Haut » (v. 32) et « Fils de Dieu » (v. 35).

L’Évangile nous montre aussi la vie de Jésus, dès son origine, comme caractérisée par un « Souffle saint », ce Souffle de Dieu qui intervient, dès le début de la création, lorsqu’un « Souffle de Dieu planait à la surface des eaux » (Gen 1,2). Et encore : la vie de Jésus, ainsi que toute l’histoire humaine et celle des Israélites à la sortie de l’Égypte, est caractérisée par « une force du Très-Haut » (v. 35). C’est la présence de Dieu comme une nuée ou une ombre qui indique – dans le désert – le chemin à prendre, une ombre qui accompagne et qui encourage (Ex 40,34-38).

C’est à partir de ces images que l’Évangile nous permet de comprendre le chemin que Jésus prendra. Mais ce chemin est possible grâce à Marie qui dit “oui” au plan de Dieu. Un “oui” qu’une femme « troublée » (v. 29) – et qui s’interroge sur la présence de Dieu dans sa vie – exprime dans une phrase très intense : « Voici, je suis l’esclave du Seigneur. Qu’il m’arrive selon ta parole » (v. 38).

Comme Marie, nous aussi – chacune et chacun de nous – nous sommes invité(e)s à dire “oui” à Dieu et à lui permettre d’agir dans notre vie.


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc (1,26-38)

 26 Le sixième mois, Dieu a envoyé son messager Gabriel dans une ville de Galilée appelée Nazareth, 27 à une jeune femme fiancée à un homme nommé Joseph. Il appartenait à la maison de David. La jeune femme s’appelait Marie.

28 Le messager est entré chez elle et a dit : « Réjouis-toi, toi qui as été comblée de grâce : le Seigneur est avec toi ». 29 A cette parole elle fut toute troublée. Elle cherchait à comprendre le sens de cette salutation.

30 Et le messager lui dit : « Sois sans crainte, Marie ; car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. 31 Et voici : tu concevras dans ton ventre et tu accoucheras d’un fils. Et tu l’appelleras Jésus. 32 Il sera grand, et sera appelé Fils du Très-Haut. Dieu, le Seigneur, lui donnera le trône de David, son père. 33 Il régnera sur la maison de Jacob, éternellement. Il n’y aura pas de fin pour ce règne ».

34 Marie dit au messager : « Comment est-ce possible, puisque je ne vis auprès d’aucun homme ? ».

35 Le messager lui répondit : « Un Souffle Saint viendra sur toi, et une force du Très-Haut te prendra sous son ombre. C’est pourquoi celui qui va naître sera saint, surprenant comme Dieu. Il sera appelé Fils de Dieu. 36 Et voici qu’Élisabeth, ta parente, vient, elle aussi, de concevoir un fils dans sa vieillesse. Elle le porte depuis six mois, elle qu’on appelait la stérile. 37 Car rien n’est impossible à Dieu ».

38 Marie dit alors : « Voici, je suis l’esclave du Seigneur. Qu’il m’arrive selon ta parole ». Et le messager la quitta.

Acclamons la Parole de Dieu.

 

Prière d’ouverture : L’Amour de notre Mère du Ciel

Malgré la souffrance qui étouffe nos vies,

il y a l’Amour.


L’Amour d’une Mère,

l’Amour d’une Mère pour Ses enfants,

l’Amour de notre Mère du Ciel,

Marie.

 

Un Amour si généreux,

qui nous accueille sans cesse,

qui nous enveloppe,

qui nous conduit,

qui nous porte,

qui nous amène à nous surpasser,

à dépasser notre souffrance[12].

[Florence Viellard, jeune maman et comédienne, Dijon, France]

 

Prière des fidèles

* Dans la première lecture, le prophète Natan – son nom signifie « don », « cadeau de Dieu » – annonce ta venue, Jésus. Et, dans les mots de Natan, c’est Dieu lui-même qui parle de toi, Jésus notre frère. En faisant référence à toi Dieu dit : « Moi, je serai pour lui un père et lui, il sera pour moi un fils ». Que chacune et chacun de nous puisse t’accueillir, Jésus, comme le Fils de Dieu, comme celui qui peut nous parler de Dieu et nous accompagner vers Dieu qui est ton Père et aussi notre Père.

* Le psaume nous a mentionné, plusieurs fois, ton amour, Seigneur Dieu. « C’est un amour bâti pour toujours » et « ta fidélité tu l’as fixée solidement dans les cieux ». Et le signe le plus évident de ton amour et de ta fidélité c’est Jésus lui-même, lui qui est venu, qui a été tué par des humains et que tu as réveillé à la vie. En pensant à Jésus, nous voulons faire comme le poète du psaume qui déclarait : « L’amour de Yahvéh, je veux le chanter sans fin ». Que notre vie et que nos actions puissent être, malgré nos faiblesses et nos infidélités, un chant d’amour pour toi, Seigneur.

* En écrivant aux chrétiens de la communauté romaine, Paul a insisté sur le « mystère gardé depuis toujours dans le silence » et qui a pris chair dans notre frère Jésus. Que, devant ce grand mystère, que Dieu veuille nous « rendre forts dans la foi ». C’est ainsi que nous pourrons mettre en toi, Jésus, notre pleine confiance et trouver la force de mettre en œuvre ta parole dans notre vie en famille et dans nos quartiers.

* Ce matin, la page de l’Évangile nous a présenté Marie comme modèle, le modèle d’une personne qui sait accueillir la parole qui marquera totalement sa vie. Que nous puissions, un peu comme Marie, être « sans crainte ». Et que chacune et chacun de nous puisse reconnaître et dire à Dieu : « Voici, je suis l’esclave du Seigneur. Qu’il m’arrive selon ta parole ».

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[1] Cf. A. A. Anderson, 2 Samuel, Word Books, Publisher, Dallas, Texas, 1989, p. 112ss.

[2] Cf. F. Stolz, Das erste und zweite Buch Samuel, TVZ, Zürich, 1981, p. 223.

[3] Cf. G. Ravasi, 500 curiosità della fede, Mondadori, Milano 2009, p. 104ss, sous la voix « Figli di Dio ».

[4] Cf. G. Hentschel, I libri di Samuele, dans E. Zenger (ed.), Introduzione all’Antico Testamento, Queriniana, Brescia, 2008, p. 362.

[5] Cf. F.-L. Hossfeld, Psalm 89, dans F.-L. Hossfeld – E. Zenger, Psalmen 51-100, Herder, Freiburg – Basel – Wien, 2007, p. 587.

[6] Ainsi B. Maggioni, Davanti a Dio. I salmi 76-150, Vita e pensiero, Milano, 2002, p. 65.

[7] Pour le début de ce verset, cf. D. Barthélemy, Critique textuelle de l’Ancien Testament. Tome 4. Psaumes, Academic Press – Vandenhoeck & Ruprecht, Fribourg – Göttingen, 2005, p. 614-616.

[8] En dehors de notre verset, ce thème est mentionné seulement dans 2 Sam 23,5 ; Is 55,3 ; Jér 33,21 ; 2 Ch 13,5 et 21,7. F.-L. Hossfeld, Psalm 89, dans F.-L. Hossfeld – E. Zenger, Psalmen 51-100, Herder, Freiburg – Basel – Wien, 2007, p. 590.

[9] Cf. J.-L. Vesco, Le psautier de David traduit et commenté, Cerf, Paris, 2006, p. 811.

[10] Cf. L. Alonso Schökel – C. Carniti, I Salmi, vol. 2, Borla, Roma, 1993, p. 247s.

[11] Cf. G. Barbaglio, Le lettere di Paolo. Traduzione e commento. Volume 2, Borla, Roma, 1980, p. 529.

[12] F. Viellard, Prières pour grandir dans la joie de Dieu, Salvator, Paris, 2012, p. 17.