Prière d’ouverture
Berger des sources, berger d’espace où je renais,
sous ta garde rien ne manque.
Aux verts pâturages, aux eaux vivantes de la paix,
ton amour me conduit.
Dans les ravins d’angoisse, dans les ténèbres de la vie,
dans les écroulements de la mort,
ta main nous relève.
Prière finale
Je te remercie, mon Dieu, parce que tu m’as créée,
tu m’as fait habiter cette terre,
tu m’as fait voir le soleil et la lune
et écouter les chants des oiseaux.
Tu m’as donné des amis à aimer
et des amis qui m’aiment,
tu m’as dévoilé ton visage et la profondeur de ton regard.
Maintenant je te demande
de me faire naître, une nouvelle foi, en toi.
Et mon départ sera serein,
si tu me prends par la main
et tu me conduis dans ton royaume.
Que sur ma tombe l’herbe puisse encore naître
et vous, fleurs, fleurissez et flamboyez au soleil,
le temps où j’attendrai le retour du Seigneur Jésus.
Et avec l’herbe je dirai : «Viens!».
Et avec les fleurs je dirai: «Viens!».
Et les aubes et les couchers du soleil, les soirées et les nuits,
les étoiles, le ciel, et les mers,
et l’univers entier diront: «Viens !».
A. Lerbret, Chants du silence. Les Psaumes pour aujourd’hui, Labor et fides, Genève 2009, p. 47.
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